Résultats de recherche pour “Jacques Brel” 1 à 27 (27)

Jacques Brel, vivre à mille temps

Un portrait tout en sensibilité de l'immense chanteur belge, Jacques Brel, pour faire découvrir aux enfants les chansons à texte.

Le jour où Jacques Brel...

"Les vacances sont là. Dans les villes dépeuplées, quelques-uns restent à r^ver, à attendre. D'autres s'en vont vers le soleil ou vers la neige.…

L'oeil du poète belge (Michaux, Yourcenar, Brel)

Ce texte a été publié dans les actes du colloque international de littérature…

Mythes en stock

Echange de courriers spatio-temporels entre le personnage de Martine de Marcel Marlier et le commissaire Maigret, mettant en scène capitaine Haddock, la Castafiore, Bob Mauranne, Jacques…

Les vieux ne parlent plus

Que faire de nos aînés ? Alors que la population est de plus en plus vieillissante, que la crise fait rage, que les vieux semblent gêner car ils ne sont pas rentables,…

Belgiques

Nous vous l’avions annoncé dans le numéro 193 du Carnet et les Instants (janvier – mars 2017), Ker Éditions lance une collection inédite, pour laquelle chaque auteur est convié à écrire une dizaine de…

Stromae est mort à New-York

Marine, une jeune journaliste, était venue à New-York pour interviewer Wil.i.am des Black Eyed Peas, mais l’annonce de la mort de Stromae, dans une chambre…

Les vieux ne parlent plus

Que faire de nos aînés ? Alors que la population est de plus en plus vieillissante, que la crise fait rage, que les vieux semblent gêner car ils ne sont pas rentables,…

Les folles enquêtes de Magritte et Georgette. Nom d’une pipe !

Ah ! comme il doit se réjouir René Magritte là-bas au milieu de…

Stromae est mort à New-York

Marine, une jeune journaliste, était venue à New-York pour interviewer Wil.i.am des Black Eyed Peas, mais l’annonce de la mort de Stromae, dans une chambre…

Une journée à Brussels

Mon amie roumaine, Rodica, de passage en Belgique, m’a relaté la journée qu’elle a vécue à Bruxelles. Je transcris le plus fidèlement possible son récit, sans…

Un roseau entre les dents

Tu m’as trempé, tel un acier qu’on forge Émile Verhaeren, L’Escaut L’Escaut ! Lets go ! Il faut l’aborder avec ses muscles, ses paumes ou ses mollets,…

La bête du Tuitenberg

Aux portes de Bruxelles, un matin d’octobre 1567, est retrouvé le cadavre d’un noble espagnol, la tête totalement broyée. Le plat pays qui est le nôtre est à cette époque…

La bête du Tuitenberg

Aux portes de Bruxelles, un matin d’octobre 1567, est retrouvé le cadavre d’un noble espagnol, la tête totalement broyée. Le plat pays qui est le nôtre est à cette époque…

Stella Maris

Comment saisir la singularité de la Mer du Nord sans s’immerger dans le premier couplet du Plat Pays de Brel ? Comment toucher sa poésie en se gardant de prolonger les lignes de fuite humides…

Neige sur Liège

On se souviendra d’ Une mort pas très catholique , paru en 2020 sous la plume conjointe d’ Agnès Dumont et de Patrick Dupuis . Voici que le duo…

Histoire, forme et sens en littérature. La Belgique francophone Tome 3 – L’évitement (1945-1970)

Comment mieux plaider l’existence d’une littérature de Belgique francophone, comment la défendre quand elle a pendant trop longtemps été considérée comme périphérique, complexée et mineure, qu’en en saisissant l’ histoire , la forme et le sens  ? Ces trois maîtres mots président à la démarche de Marc Quaghebeur depuis le premier volume du grand récit qu’il en a entamé en 2015 . Le chantier est immense : il faut faire émerger les figures puis interroger le rapport organique qu’elles entretiennent avec leur œuvre respective ; il faut les inscrire dans des veines, des tendances, des lignes de force, interroger la nature des rencontres, tisser les dialogues et rendre compte aussi des percussions ; enfin, faire résonner le tout avec cette vaste chambre d’écho qu’est le siècle qui l’a pétrie. C’est en somme un travail davantage musical que scriptural, et l’impression de voir se développer une partition se confirme à la découverte de ce troisième volume (sur quatre annoncés) En homme de goût parfait, Quaghebeur a choisi d’illustrer la couverture avec un logogramme peu connu de Christian Dotremont, zébrant en rouge et noir Un grenier répandu, une fête pas assemblée . Et c’est bien ce que représentent ces vingt-cinq années de création romanesque, poétique ou théâtrale. Alors que, pendant les années de guerre, l’isolationnisme culturel imposé par les autorités d’occupation – et marqué notamment par l’interdiction de circulation des livres français sur le territoire – a pu donner aux écrivains francophones de Belgique l’illusion d’une existence autonome, au sortir du désastre, le recentrage sur la France et le tropisme parisien sont drastiques.Est-il encore possible de s’exclamer « Soyons nous » si l’impératif réel est d’« écrire comme eux », aussi bien et aussi correctement ? Le gommage de l’expression identitaire, à travers un lexique, une langue ou un style particulier, est total. Entre classicisme lundiste et enfièvrement ludique, franges paralittéraires et marges expressives, les écrivain.e.s cherchent autant d’échappatoires à leur condition profonde de « Belges ». Le sous-titre du volume n’est pas pour rien «  L’évitement  »… Puis de nouveaux apports entrent en jeu, qui rebattent définitivement l’équation un sol/une langue/un peuple, déjà si malmenée et complexe pour un pays bicommunautaire : l’arrivée d’ouvriers italiens et de leurs familles est le premier mouvement migratoire de masse qu’expérimente la population autochtone ; pendant quinze ans aussi, on voit les derniers feux de l’« Empire de Papa » avant que le Congo prenne son indépendance…Cette tranche chronologique – et c’est l’immense mérite de Quaghebeur que de le prouver – n’a donc rien d’une parenthèse creuse. Elle est au contraire riche d’œuvres qui, par leur mise en relation constante avec l’ histoire , ont forme et prennent sens . Non pas qu’elles proposent de dire frontalement le réel (il faudra attendre le quatrième volume pour voir comment des Conrad Detrez ou des Pierre Mertens liront et écriront l’histoire de Belgique), mais bien parce qu’elles tentent d’apporter une réponse originale au traumatisme majeur qui aurait pu la laisser groggy, après Hiroshima et Auschwitz. «  À leur manière, les choix néoclassiques font pendant, sur un plan idéal, aux objectifs de reconstruction nationale, non idéologisée, du pays ainsi qu’au dépassement des camps d’extermination. Ne frappaient-ils pas d’inanité l’exaltation des nations tout autant que la conviction du caractère téléologique de l’Histoire ?  »L’évitement n’est donc en rien lâcheté posturale, mais bien déport de la conscience et de la sensibilité vers le ressourcement dans le mythe (Bauchau), le réalisme magique (Willems), l’expression d’un espoir ontologique (Paul Nothomb), la poétisation analogique de soi (Lilar), le libre franchissement des limites expressives (Dotremont), l’iconoclasme pur (Mariën).Et parlant d’iconoclasme, Quaghebeur n’est pas en reste, quand il ose terminer son tour d’horizon avec le Grand Jacques. Provocation que de consacrer vingt-cinq pages à un chansonnier ? Interdiction formelle de les sauter pourtant, car le phénomène Brel incarne justement le point de charnière entre cette période morcelée et la suivante, qui sera soclée sur la « Belgitude ». Un mot dont la première occurrence, à en croire Olivier Todd, pourrait bien ne s’être pas trouvée dans le numéro des Nouvelles littéraires qui l’imposa mais dans la tête du chanteur dès le début des années 1970. Et, à coup sûr, dans la déchirante (et trop longtemps restée inédite) chanson Mai 40 … Brel aura enté dans le patrimoine de la chanson française nos tiraillements et écorchements, notre ulenspieghelitude et notre grandiose petitesse, notre carnavalesque délirant et nos confuses rêveries. Sa voix module ce que celles de tous les prédécesseurs rassemblés dans ce volume ont exprimé en sourdine sur la page blanche. Et tout cela, il fallait le maestro Quaghebeur pour si bien nous le faire percevoir. Frédéric Saenen Plus…

L’Esprit frappeur, récit d’une aventure théâtrale

Les souvenirs de spectacles sont des lucioles, elles surgissent…

L’Esprit frappeur, récit d’une aventure théâtrale

Les souvenirs de spectacles sont des lucioles, elles surgissent…

L’Esprit frappeur, récit d’une aventure théâtrale

Les souvenirs de spectacles sont des lucioles, elles surgissent de la…